Le nom même de La Bourboule résonne comme une onomatopée, évoque les bulles sonores des eaux thermales venues des profondeurs après des pérégrinations mystérieuses. Certains le font dériver du nom de Borvo, dieu celte des sources chaudes.
Aujourd'hui, dans cette vallée reculée du haut Pays, il n'est probablement pas impossible de rencontrer un druide, mais il vous sera plus facile, si vous n'êtes pas initié, de consulter un médecin de médecine thermale de la ville pour soigner une affection des voies respiratoires ou une dermatose, pour lesquelles les eaux arsenicales de La Bourboule sont indiquées.
Mais vous pouvez aussi tout simplement vous accorder un moment de bien-être, vous ressourcer pour repartir du bon pied après une épreuve de la vie. Pour plus de détails, voyez au chapitre suivant le site officiel des Grands Thermes.
Si les bienfaits des eaux de La Bourboule sont connus depuis des millénaires, ce hameau de Murat-le-Quaire n'est véritablement devenu ville indépendante que dans le dernier quart du XIXème siècle, quand la mode fut venue de «prendre les eaux» comme on disait alors.
L'architecture de la ville témoigne de cette époque où la station était fréquentée par de nombreux étrangers, notamment anglais. D'où la présence d'un temple protestant - fermé au culte depuis 1975 - et d'un hôtel à l'enseigne des «Iles Britanniques», devenu
résidence des Iles Britanniques
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, où se trouve l'hébergement que nous vous proposons.